C’est à la suite de l’initiative de GEOFFROY BOULARD, qu’Elisabeth Levy est tombée sous le charme de cet élu LR du XVII eme arrondissement
Elle était prudente au départ, flairant un coup Séguélo-Macronien et , faute de lièvre s’est demandée si on n’essayait pas de soulever un rat
Signalerunrat.paris, première appli de dératisation
participative, relève-t-elle de l’opération de communication ?
Mais ouf !!! Non, il y avait bien un loup !!!
« Pas du tout. À l’origine, cette application devait servir d’outil afin de mesurer l’ampleur de l’infestation sur
l’ensemble du territoire de la capitale. Fin 2017, j’ai été alerté par des habitants du 17e arrondissement qui se
plaignaient de la présence massive de nuisibles à proximité d’une aire de jeu pour enfants dans le square des
Batignolles. J’ai alors immédiatement fait fermer le parc pendant deux mois afin que les services de la ville le
nettoient. Dans le même temps, j’ai reçu une pétition de parents qui ne voulaient plus mettre leurs enfants dans ce
qu’ils appelaient la « crèche des rats ». J’ai alors compris qu’on ne pouvait plus rester sans rien faire. Nous avons
donc lancé ce site mobile cet été avec la seule aide d’un stagiaire qui avait des compétences techniques. Nous
avons déjà dépassé les 3000 signalements dont nous conservons systématiquement l’historique afin de mieux
concentrer les moyens de la ville sur les secteurs tendus. »
Evidemment, la formule était sur toutes les lèvres…
La dénonciation en mode « balance ton rat » est-elle une méthode d’action efficace ?
Oui et non. Tout l’intérêt de cette application réside dans le fait de présenter une cartographie à jour des zones les
plus infestées. C’est par exemple grâce à cette application que j’ai découvert qu’une école de l’arrondissement
n’avait pas organisé sa fête de fin d’année. La directrice avait dû renoncer à ouvrir son établissement parce que
sa cour ressemblait à une piste de Formule 1 pour rats. Cet exemple est symptomatique : si je prends
connaissance de la situation, c’est grâce aux retours des citoyens et non grâce aux services de la ville.
Et Babette s’est dit : et si l’expérience menée par ce courageux et clairvoyant jeune républicain promis à un brillant avenir pouvait être transposée à Causeur !!! Finie Anasthasie, que l’on pouvait licencier sans indemnités, bienvenue à Eunasthasie, le logiciel qui ne coûte rien et qui permet de transformer en flics bénévoles Groschiant Isabeau et autres sycofientes qui ne demandent que cela !
Et voila, comment Babette, reprenant des accents républicains et patriotes se déguisa en Marianne appelant à dénoncer les suspects du haut de sa barricade