LE CID ? NON LE BIDE !

 YANN MOIX DANS UNE REPRESENTATION DU CID OU IL INTERPRETE RODRIGUE VENAT RAPPORTER A BHL SA NUIT AVEC CHRISTINE ANGOT           

       

Sous moi donc sa croupe se balance

Et se prend dans le con ma très mâle assurance

Sitôt que l’on arrive  nous nous mîmes au lit

Mais vite elle se leva pour aller faire pipi

Mon dard qui , chacun sait toutes les femmes enivre

Merde !.. je me suis trompé de page dans le livre

Revenons au plumard où déjà ma Christine

Demande goulument à me sucer la pine

Et quand mon goupillon je plante dans ses fesses

Déjà au septième ciel elle rugit d’allégresse

C’est Bonaparte en Moix qui revit Marengo

Mais je tombe des nues , hélas c’est Mère Angot

Qui hilare montre son imposant popotin

Et me dis t’as aimé dis le moi mon lapin

Heureusement voila que Marion Cokignare

Avant d’entrer au lit enlève son peignoir

Suivie sans plus tarder par Audrey Pulcaviar

Mais très vite les deux je vire j’en ai marre

Il ne manquerait plus pour saper mon moral

Que vienne me sucer cette Arielle Troudeballe

Les filles bien n’avalent pas et celle qui le dit

De ses fesses joufflues je n’en ai nulle envie

Il est clair que la meuf de plus de cinquante ans

A la plupart du temps les orifices béants

Quand j’adore pour ma part les trous du cul serrés

Que ma bite conquérante prend peine à défoncer

Mes mains se tendent afin de toucher la chair fraîche

Ah mais que se passe-t-il celle la est un peu rêche

Mon Dieu ce que je tiens ce n’est que du péchiotte

Assis sur la cuvette j’allais faire ma crotte

J’ai sans savoir pourquoi commencé à rêver

Qu’au milieu d’un harem je pouvais forniquer

Hélas au lieu et place de fesses et de nichons

Nage dans la cuvette un répugnant étron

Fruit non de mes orgies mais du dernier pique nique

Avec José Bové entouré de ses biques

Chacune vêtue d’un coquin porte jarretelles

Afin de nous montrer qui était la plus belle

Je me lève déconfit ecoeuré et battu

Et avec le papier je me torche le cul

Mon combat se termine pitoyable et salace

En n’ayant pour trompette que  le bruit de la chasse