DOMENACH DE PERE EN PETIT FILS: HERITIERS ET FIN DE RACE

  Il suffit de consulter Wikipedia…

Jean-Marie Domenach fut directeur de la revue Esprit en un temps où il y avait encore des journalistes…

Jean-Luc Domenach est le fils de Jean-Marie Domenach. Il est marié à Geneviève Domenach-Chich, militante au Parti socialiste français. Elle l'a accompagné à Pékin, où elle a travaillé à l'UNESCO. Il est le père d'Élise Domenach, traductrice de Cavell et journaliste pour la revue de cinéma Positif. Il est le frère du journaliste Nicolas Domenach.

Que du beau monde…la bobocratie peut même vendre ses petites culottes pour soutenir médecins sans frontières !

Et puis un peu plus loin..

Nicolas Domenach est un journaliste politique français, né le 29 mars 1950[réf. nécessaire]. Il est, depuis le 1er septembre 2014, chroniqueur politique à l'hebdomadaire Challenges1, après avoir démissionné de la rédaction du magazine hebdomadaire Marianne, qu'il a contribué à créer en 1997, et dont il a été directeur adjoint de la rédaction.

Et encore un effort…

Hugo Domenach suit les traces de son père, Nicolas Domenach, directeur adjoint de la rédaction de Marianne

N’en jetons plus… la cour est pleine !

Bourdieu, dont les gens cités ci-dessus doivent avoir le portrait dans leur salon appelait cela les héritiers. La parité est ici une rigolade ; c’est passe-moi le sel, je te passe le beurre !!

Les Domenach sont loin d’être un exemple isolé : tout fonctionne comme cela surtout entre membres de la gauche caviar.

Sauf qu’il, en va de ces gens-là comme des aristocrates : à force de se reproduire entre eux, il y a une altération de la génétique.

Jean-Marie Domenach fut sans doute un grand esprit

Nicolas Domenach a un look plutôt sympathique. A Marianne dont il a dû se faire virer (que l’on se console, les ‘caviars » retrouvent très vite un job correctement rémunéré- c’est-à-dire surpayé au regard de leurs prestations), il délirait généralement sur trois pages, les deux premières étant consacrées à une masturbation intellectuelle consistant à s’écouter écrire, la troisième à une analyse digne du  torchon c’est-à-dire de la roupie de sansonnet !!!

Sur I-Télé, il prend, chaque fin de semaine une raclée par Zemmour qui, quel que soit son talent, n’a pas grand mérite à ridiculiser cette caricature de la pensée bobotiquement correcte.

 Mais on atteint le fond, avec le dernier de la nichée, Hugo , fils d’un Nicolas qui ne devait pas être au mieux de sa forme le jour où il le mit  en chantier. Là c’est pitoyable

Sur le plateau de LCP , voilà qu’après avoir avoué être peut être un peu « naïf » (est-ce le terme qui convient ?), il pense qu’on ne devrait pas publier les statistiques du chômage tous les mois parce que c’est « anxiogène «  (sic) et parce que l’on sait que la politique du gouvernement ne pourra donner des fruits que dans un an et demi (re-sic) . Silence poli des autres journaleux qui doivent, en dépit de leur talent limité se souvenir que l’inversion de la courbe du chômage avait été annoncée pour fin…. 2013 !!!

Tout cela serait drôle si la presse qui  donne une tribune à de tels bouffons manifestant ainsi son mépris du con de lecteur  n’était subventionnée, directement ou le plus souvent indirectement par le contribuable. Libération devrait avoir rejoint le cimetière en même temps que le roi Dagobert  mais le torchon survit car l’Etat, ne serait ce qu’au travers des remises fiscales sait maintenir le cadavre en survie

 Traitons cela avec humour et tentons de convaincre Bové que  laisser les Domenach se reproduire plus longtemps c’est aussi dangereux que laisser pousser les OGM ou soufflons dans l’oreille crasseuse d’Hubert Reeves qu’une telle dérive est une preuve de plus du dérèglement climatique !

On ne sait plus quoi faire pour balayer les écuries d’Augias…