Sahem Souid: prix FOLCLOCHE des bouffons

Il faut créer un prix FOLCLOCHE : ce prix, décerné chaque année récompenserait le journaleux (se) ou l’écrivassier(ère), bref celui qui défèque et urine dans les merdias, et qui s’est montré le plus odieux ( comme le personnage bien connu du roman de Bazin) et le plus bête comme ces choses bruyantes qui s’en vont à Rome vers Pâques sans que l’on sache pourquoi et qui portent un nom dont chacun évite de se voir affubler.

Le prix offert pour cette distinction pourrait être un bonnet d’âne assorti d’une gamelle de picotin. Créons donc le prix FOLCLOCHE en présentant aujourd’hui la première candidate à ce titre.

Il s’agit de Sihem Souid à qui Le Point ouvre régulièrement ses latrines et qui le 4 février commet un article pour nous expliquer comment elle va régler le problème du chômage en créant pas moins de 1300 emplois (sic) grâce à l’installation d’éthylotests dans les voitures !

Ce qui est en cause n’est pas la modestie de la contribution qui tranche avec l’incontinence arrogante de la dame. C’est tout au plus une flaque d’eau arrachée à la mare du chômage et cela ne vaut sans doute pas que Le Point méprise à ce point ses lecteurs en leur mettant sous le nez le produit de la pensée de madame Souid.

C’est le raisonnement même qui interpelle car avec une telle analyse, on peut, dès demain résoudre le chômage. Il suffit en effet d’imposer aux citoyens l’achat d’un casque pour éviter les chutes de météorites, l’achat de lunettes opaques pour ne pas voir Éric Zemmour ou Nazarinne Peugeot-Tontonne , de boules quies pour ne pas entendre Apolline de la merde, de pinces à linge pour ne pas sentir Dieudonné, d’antennes pour détecter les terroristes, lesquelles devraient être équipées d’un dispositif anti-discrimination pour ne pas stigmatiser les musulmans… On pourrait proposer 200 pages de ces géniales inventions et les petits ruisseaux faisant les grandes rivières la mare du chômage serait ainsi vite asséchée..

Sauf que ce sont… les « heureux » bénéficiaires  qui paient, dans le cas de l’éthylotest, comme dans celui du gilet jaune, du détecteur de fumée et autres géniales inventions de pauvres esprits scrofuleux.

Un certain Fréderic Bastiat, économiste du dix-neuvième avait déjà réglé le problème à propos de la vitre cassée. Contrairement à ce que pensent de pauvres cloches aux neurones fabriqués manifestement par Panzani, remplacer une vitre cassée n’a jamais créé de richesse car l’argent dépensé pour cela ne le sera pas ailleurs. Les éthylotests obligatoires  seraient payés par les automobilistes et l’argent ainsi dépensé ne le serait pas en courses du samedi (ou bientôt du dimanche) ou en commandes chez l’artisan. Les hypothétiques emplois créés dans ce secteur se traduiraient par des suppressions équivalentes dans d’autres secteurs.

Voilà donc résumée la pensée économique guignolesque de cette collaboratrice de Taubira par ailleurs membre éminent du parti socialiste ! Elle est à rapprocher de son sens aigu de la moralité puisqu’elle avait défendu bec et ongles Aquilino Morelle , énième dignitaire socialiste à s’être rempli les fouilles en faisant les poches du contribuable.

On se consolera en se disant qu’il vaut mieux qu’elle utilise sa plume trempée dans la merde à écrire ces âneries plutôt qu’à insulter Bilger en le traitant de fils de collabo !

On retient quand même que son dégueulis lui donne de fortes chances de recevoir le prix Folcloche 2015.