VINGTIEME LETTRE DE ZAZUBIE

                     Ma bien-aimée marquise

               Comme je vous l'ai déjà dit, je suis effaré par la Goufillomanie qui agite la Cour depuis plusieurs semaines, alors, je me suis vengé                                             

 

 

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                                 JESUS FUT MIS EN EXAMEN  :

                    Un parallèle qui ne peut être le fait du hasard

MOTS CLES : JESUS-GOUFILLON-SOLESMES-JUDAPAS- BARABAS-MACRON-RESURRECTION-J’ACCUSE-CRASSEPOUTINE-CAUSEUR

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Martin Kelenborn

Emmerdeur

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  Faut-il rappeler que l’ignoble complot dont est aujourd’hui victime Saint François de Solesmes encore connu sous le nom de bon père Goufillon n’est qu’une réédition des mêmes faits qui ont marqué l’Histoire. Comme l’a excellemment rappelé ici le général Allard, le général de Gaulle fut lui-même victime d’une justice au service du camp du mal et des puissants du moment au service de l’occupant.

A la fin du 19 eme siècle, le capitaine Dreyfus paya de longues années de bagne et d’infamie  une faute qu’il n’avait jamais commise. Il fallut le courage d’Emile Zola pour défendre dans l’Aurore ce valeureux soldat, par un article demeuré célèbre : « J’accuse »

Aujourd’hui, c’est au tour de Causeur de reprendre le flambeau du combat héroïque mené par un homme libre et une presse affranchie du pouvoir et, de rendre hommage à l’Aurore et Zola en disant : Oui ! J’accuse

J’accuse, pour rappeler ce combat des justes dont la première victime fut Jésus en personne. Jésus fut en effet accusé d’un crime qu’il n’a jamais commis car son unique péché, comme François de Solesmes avait été d’apporter aux hommes la lumière du Seigneur. Le parallèle ne manque nullement entre ce qui advint à Jésus avant de mourir sur la croix et François.

Le traitre qui le dénonça s’appelait Judas et bien imbécile qui ne verrait pas dans le sinistre Pujadas, l’anagramme de Judas, renié pour faire oublier le crime ! Judapas en effet !!! L’Histoire est têtue et le crime se perpétue au travers d’elle. Judapas qui rappelle étrangement le romain Tullius Detritus, Judapas, nouveau Iago que le pouvoir merdiatique a rendu plus maléfique encore. Judapas flanqué d’une rombière pécheresse et vulgaire, poissonnière de son état et jalouse de ce que Jésus avait rempli les filets des pécheurs, faisant s’écrouler le cours du merluchon sur le marché de Bethléem !

Faut –il ajouter dans le rôle du procureur un odieux personnage, Pionce Picrate, ancêtre de Jean-Louis Borloo, prêt à couper le vin des juifs pour mieux se garder les bouteilles pour sa consommation personnelle.

L’ignoble Pionce Picrate contrôlait en fait tous les marchés de Judée et de Samarie et voyait d’un mauvais œil ce Jésus qui se vantait dans les réunions de changer l’eau en vin, ce qui ne pouvait que nuire aux affaires de cet Al Capone du Seneclauze.

Mais voudrait on une preuve supplémentaire de la connivence de la justice avec le pouvoir du proconsul Batavius, qui prônait pour le peuple la consommation de salade quand il se gavait de cuisses de biches, et bien la voila !

Pionce Picrate eut à choisir (car en ce temps là aussi la justice était encombrée)entre le fait de condamner Jésus ou de faire rattraper par le bourreau un malandrin notoire, amateur de belles voitures et de clinquant : un certain Macron de Barabbas. On m’a bien lu : il ne s’agissait point du marquis de Carabas qui fut plus tard célèbre pour son goût prononcé pour les chattes bien bottées.

Et bien, vous l’avez deviné : c’est ce pauvre Jésus qui dut porter sa croix et subir le calvaire, jusqu’à Pâques, date où il devait  ressusciter des morts en présence des cloches revenues de Rome spécialement pour acclamer le seigneur.

Et Causeur est heureux de vous annoncer que cette résurrection s’est faite exceptionnellement et devant les caméras de TF1, sous les traits du révérend père Goufillon. Elisabeth Levy a, une fois n’est pas coutume reçu la communion en l’église de Saint Denis d’Orques où a eu lieu le miracle et les enfants ont pour l’occasion ramassé les œufs de pâques fraichement pondus par les poulets de Loué

Dieu soit loué car grande est sa justice et profonde sa miséricorde

 

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On peut voir sur la photo ci-dessus le révérend père Goufillon ressuscité des morts et fêtant comme il se doit, l’événement, en compagnie de ses amis de Causeur qui l’on soutenu dans son chemin de croix.

Derrière la joie apparente on devine cependant des menaces. L’infâme Judapas, ressuscité de Miguelito Loveless tente de sauver sa peau de traître mais Jésus Goufillon ne pardonne pas à ceux qui l’ont offensé. A droite sur l’image, derrière ses lunettes noires, l’ignoble Crassepoutine, Iago de la bande semble inquiet ! Pour l’instant, il se fait oublier mais prépare sans doute un nouveau coup foireux.

 

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L’ignoble clique de la gauche bobête et de la pensée inique avait pourtant fêté l’exécution de François de Solesmes

MK 30 MARS 2017