L'imMONDE PRAVDA DU POLITIQUEMENT CORRECT (2)

On a vu que l’Immonde, comme le faisait la Pravda hier n’hésite devant rien pour raconter des âneries (des contrevérités comme disait ce cher Georges Marchais)

On remarquera donc que, cependant, l’Immonde, (a.k.a le Monde) survit… et pourquoi ?

Chaque administration, qu’il s’agisse d’un ministère, d’un service déconcentré ou d’une ville a un ou plusieurs abonnements au Monde. Au ministère des finances, cela doit se compter en centaines si ce n’est plus.

Chaque grande entreprise a un abonnement au Monde parce que c’est une marque de respectabilité, à la fois vis-à-vis du politiquement correct ambiant et des personnels que l’on gratifie chaque jour de la lecture de l’évangile officiel.

Il en résulte que le nombre d’abonnés au Monde qui le paient effectivement sur leurs propres deniers doit être une minorité dont l’apport financier ne permettrait pas à lui seul d’assurer au journal sa survie.

A cela s’ajoutent quelques cadeaux fiscaux sous forme d’abandons de créances.

Il faut bien comprendre la complicité existant entre le Minotaure, en charge de la gestion de l’Etat abstinence et les merdias, le Monde en tête. Ils sont les chiens de garde de la pensée unique, produite sous des formes différentes par le PS ou l’UMP mais avec le même objectif : dénoncer l’homme blanc, prédateur des ressources, raciste bien connu, violeur potentiel, fumeur et porté sur le Ricard, et assassin de la route s’il est automobiliste. Car cet opprobre est la condition de la mise en place d’un ordre semi-totalitaire qui fera accepter le chômage et la baisse des revenus comme une conséquence normale des comportements consistant à refuser la loi du marché.

Lors du débat sur l’introduction de la parité, à la fin des années 90, l’Immonde donne uniquement la parole aux hommes quand ils la défendent. La seule admise à la combattre est Elisabeth Badinter

Oui l’Immonde est bien à l’Etat abstinence qui se met en place ce que fut la Pravda à l’Urss de Staline et Brejnev

Il faudrait interdire que de tels abonnements, payés par le contribuable ou le consommateur puissent se perpétuer

En attendant, nous n’avons que la possibilité de boycotter ses éditions payantes et de consulter ce qui est gratuit pour mieux le canarder.