LA DEFAITE, LE DESHONNEUR, LE RIDICULE

                   

                                      LA DEFAITE, LE DESHONNEUR ET LE RIDICULE

 

   « Ils sont choisi le déshonneur pour éviter la défaite, ils auront la défaite et le déshonneur » avait dit Churchill au lendemain des accords de Munich.

   La Parti socialiste ou ce qui en reste aura eu la défaite, le déshonneur et, peste soit de l’avarice, le ridicule.

1. La défaite :

  Elle est sans appel, elle est cinglante, elle est profonde et mortelle. Elle ne saurait être comparée à celle de Deferre en 1969 quand le parti socialiste n’arrivait pas à naître. Pas plus qu’en 1993 quand il paie déjà les premiers errements du spectacle grotesque dont lui seul a le talent de metteur en scène. Le PS paie alors le pitoyable tour de scène de Cresson créature de la gauche caviar et de la promotion canapé.

Cette fois c’est la défaite d’un parti qui a vendu son pitoyable cul à quelques chevaux de retour  trotskistes (et dire vendu son cul est inadéquat car quelle pute aurait vendu le sien à de tels tristes sires) pacsés avec les bobos de Terranova ! L’alliance d’Ubu et de Marie Antoinette, de Pol Pot et de Rohan-Chabot ! Pitoyable spectacle que celui de ce parti miteux et mité dont les toiles abritent encore quelques enseignants à la retraite ou quelques contrôleurs de la SNCF allant prendre des leçons d’économie au rayon de Bricogite. A tout le moins, à Waterloo, la garde ne se rend pas : là elle pisse au lit !

2. Le déshonneur

On savait que le PS ne défendait plus vraiment les  « travailleurs » pour reprendre un terme cher à ceux avec qui il a fait ses tristes partouzes. Il n’y avait rien à attendre de ce côté la ! D’ailleurs ce prolétariat ingrat (ou ce qui en reste)qui avait boudé Jospin pour voter Le Pen ne valait quand même pas qu’on s’apitoye sur son sort quand l’Aube Nouvelle était celle de la diversité , bio ou pas ,celle où la femme est  l’avenir de l’homme et le black beauty full  quand les blondes sont les seules femelles qu’il est permis de traiter de connasses ! Bon, quand on veut se payer une Rolex avant la cinquantaine pour ne pas avoir raté sa vie, on ne va pas se faire l’éternel avocat des causes perdues !

Mais on ne savait pas (on aurait pu s’en douter) que l’on n’était pas au bout de la nausée. On ne savait pas que cette bande de rats n’hésiterait pas à aller à la soupe après que le dernier carré de ceux qui n’ont rien compris ait désigné un vilain petit canard qui chantait mal. Le général Valpioca en tête, un char à boeux trainant le pitoyable Flamby, sorte de croisement entre un roi fainéant et un Néron de supermarché, voila que la petite troupe des promis à la gamelle allait se rabattre, au mépris des conseils du défunt Jean-Pierre Coffe , sur le Macron à l’escardèche ! Ben oui ! Quand on avait semé la dèche, ce n’était pas le grand écart que de donner dans le culte du maquereau !

Pitoyable spectacle car Vals n’est pas Iago, tout juste un général Tapioca qui aurait foiré son enième pronunciamiento et dont ce pauvre Guillon aurait même demandé la grâce à Pol Pot tant sa carcasse risquait de faire un mauvais engrais ! Pitoyable remise des Césars de la honte avec à la tribune Pierre Bergé, Attali, Seguela, BHL , Royal, Minc, Kouchner et tout ce que ce pauvre pays compte d’étrons !

Déshonneur, le mot est encore trop grand et la honte risquerait de rougir de se voir imposer une telle compagnie !

3. le ridicule

 Et oui !!! il manquait le ridicule et pourtant, on aurait du comprendre qu’il était tout prêt car dans ce petit monde où Marie-Antoinette se préoccupe quand même de savoir si la brioche servie aux migrants sera bio et si la cour comporte bien son quota de minorités visibles, on n’est peut être pas doué pour les bons mots( l’humour de la gauche caviar est dans le meilleur des cas pitoyable quand il est servi par Ruquier ou Tavernier, il devient sanguinaire quand il l’est par Guillon)mais on sait se ridiculiser sans l’aide d’autrui

Si Touconkhamon n’avait pas existé, il est certain que le génial Attali aurait pu le créer en engrossant Caroline My Ass ! La c’est la perfection !

Non seulement le bouffon n’a jamais compris le moindre mot à l’économie (normal, l’université a du lui filer, comme à Valpioca ou Zezette Duflot une licence d’Histoire ou de géo afin qu’il ne situe pas le Japon dans l’hémisphère sud, par lassitude sans doute de le voir user ses bancs)mais il ne  craint pas d’affirmer sans rire que si nous mourons, c’est à cause de la pollution de l’air (salopards de conducteurs de diesel qui vont bosser et prennent le périph)des pesticides (salopards de producteurs de fraises qui les traitent alors qu’elles poussent simplement au cœur des pâquerettes dans la ferme de José Bové)des OGM, dont le dit José Bové a puni de sa fau la main criminelle, et , bien sur, du réchauffement climatique ( qui jette sur nos côtes des tas de réfugiés grillés par le soleil !!!!).

 Voila somme toute un âne patenté qui fait tout ce qu’il faut pour diminuer la taille de la marmite et aussi ce qu’on y met mais qui affirme pouvoir augmenter les rations simplement en accroissant la taille des écuelles ! Et c’est faire insulte au peuple des ânes que de dire cela car un âne ne serait pas aussi bête

 Et cet imbécile emplumé se plaint d’avoir trouvé un français sur quinze assez imbécile pour voter pour lui !!!

Il va rejoindre les latrines de l’Histoire qu’il n’aurait jamais du quitter. Mais qu’il se rassure, la relève est assurée. Il a fallu trouver un remplaçant à Bartolone dans ce magnifique coin de France qu’est le 9.3. On a donc un président du conseil territorial tout nouveau, même look un peu con que le maire de Sevran (mais le 9.3 c’est le restau du cœur des crétins) qui, à la télé explique qu’il faut voter Macron au second tour tout en en disant pis que pendre dès qu’est abordée la question des prochaines législatives.

Voila : ces guignols auront bu leur pisse jusqu’à la lie.

Touconkhamon déclara, le soir de sa désignation aux primaires qu’il ne souhaitait pas que son nom et celui de sa famille soient associés à une défaite (il n’avait pas vu que ce serait une débâcle) Les véritables socialistes, il doit encore en exister parmi ceux qui ne votent plus pour ce parti, auraient souhaité que le nom de ce nabot ne soit pas associé à celui de Jaurès et de Blum !

La seule chose que l’on puisse souhaiter est que, comme il y a , parait-il une mémoire de l’eau, il y ait une mémoire des chiottes et que leur nom soit écrit en lettres de merde pour la fin des temps sur ce qui devrait être un monument aux porcs.