« Laurent Wauquiez est devant un mur lisse, qu’il doit escalader. De temps en temps, il aperçoit une prise. Elle n’est pas forcément adaptée, mais il fait un petit détour pour l’accrocher. L’image du mur lisse n’est pas de nous. Elle est de Wauquiez lui-même. «
Voila ce que j’écrivais il y a quelques jours dans Louseur quand il m’est venu à l’esprit que je faisais un bien mauvais tour à ma naturelle fainéantise. J’avais, pour une fois, dépassé une page de texte réalisant ainsi un exploit dont personne ne m’aurait jamais trouvé capable quand il m’est venu à l’esprit que je gaspillais mon énergie alors que j’aurais pu faire d’une pierre deux coups !
C’est la que j’ai réalisé que Laurent Wauquiez était le parfait hologramme de notre Jerôme Leroy , son clone sur le chemin qui les mène tous les deux au calvaire qui est le leur.
J’écrivais : » Tout est bon pour se payer Wauquiez. La séquence de la semaine dernière fut un modèle du genre. Wauquiez a été la cible pour deux raisons : l’affaire du tract « Pour que la France reste la France » et la photo en costard-cravate dans les ruines de Mossoul. »
Il m’est alors revenu qu’ici, à Louseur, tout est bon pour s’en prendre à Jerôme Leroy, notre talent littéraire que Bellemare dédaigna jusqu’à son trépas au point de ne pas lui consacrer une histoire extraordinaire ! Jerôme Leroy , appelé Crassepoutine par on ne sait quelle canaille jaillie des tripes fumantes de Hara Kiri après qu’il se soit fait éventrer par Reiser. Jerôme Leroy à qui le même infâme a cru bon de prêter une inféconde relation avec Grichka Bogdanov , laquelle relation aurait, selon ma gargouille de concierge donné naissance à une créature nommée Leberwurst et dont la seule vue aurait convaincu Ludivine de la Rochère des bienfaits de l’avortement !
Il m’est apparu que Laurent Wauquiez , appelé par ses détracteurs le Donald Duck du Puy en Velay ou le Jupiter du Mont Gerbier des cons et Jerôme Leroy dit Crassepoutine avaient un destin commun et que leurs épreuves n’était que le chemin à gravir pour que fut reconnue leur gloire !
D’ailleurs, cette photo montre bien qu’ils se sont , ensemble, recueillis sur les lieux où fut commise l’horreur.
Faut-il ajouter cette affaire du tract ? « Pour que la France reste la France « Que n’avait-il dit la ? Le déchainement n’aurait pas été pire s’il avait dit : « Pour que la France reste la Gaulle » Ah, évidemment, s’il avait dit : « Pour que Ruquier reste Ruquier » toute la bien-pensance, de Merdiafart aux déconneurs de l’Immonde en passant par Fiente Inter auraient applaudi ! Et cela m’a rappelé ce pauvre Jerôme qui commit un jour l’imprudence d’écrire « Si cela se passe ailleurs, pourquoi pas chez nous » Immédiatement les pires trolls de Louseur se sont déchainés : si ça se passe à Médine, pourquoi pas au Bataclan ! C’est à peine si on n’a pas dit : « Si Poutou suce son chien, pourquoi Finkielkraut n’en ferait-il pas autant.
La encore il faut que chacun puisse enfin découvrir la vérité et la détresse de Laurent et Jerôme devant l’impensable
Il appartient à chacun de prendre en main son destin. Mon modeste article n’avait pour objet que de les encourager !
Bon je retourne sur ma cathédrale car l’abbé Frauleau commence à avoir Alzheimer et veut absolument tailler des pipes à Quasimodo ! Ce n’est quand même pas parce que Pierre Bergé avait ce type d’exigences que le pape François doit l’autoriser ! Vous voyez, je reste raisonnable !
DESGARGOUILLES